vendredi 17 octobre 2014

LECTURES DU DIMANCHE à 11 heures 30



29ème DIMANCHE ORDINAIRE




Du livre d’Isaïe   25, 6-9
Le Seigneur, le tout-puissant, va donner sur cette montagne un festin pour tous les peuples, un festin de viandes grasses et de vins vieux, de viandes grasses succulentes et de vins vieux décantés.
Il fera disparaître sur cette montagne le voile tendu sur tous les peuples, l’enduit plaqué sur toutes les nations.
Il fera disparaître la mort pour toujours. Le Seigneur Dieu essuiera les larmes sur tous les visages et dans tout le pays il enlèvera la honte de son peuple. Il l’a dit, lui, le Seigneur.
On dira ce jour-là: c’est lui notre Dieu. Nous avons espéré en lui, et il nous délivre. C’est le Seigneur en qui nous avons espéré. Exultons, jubilons, puisqu’il nous sauve.

De la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens   11, 17-30
Je n’ai pas à vous féliciter: vos réunions, loin de vous faire progresser, vous font du mal. Tout d’abord, lorsque vous vous réunissez en assemblée, il y a parmi vous des divisions, me dit-on, et je crois que c’est en partie vrai: il faut même qu’il y ait des scissions parmi vous afin qu’on voie ceux d’entre vous qui résistent à cette épreuve. Mais quand vous vous réunissez en commun, ce n’est pas le repas du Seigneur que vous prenez. Car, au moment de manger, chacun se hâte de prendre son propre repas, en sorte que l’un a faim, tandis que l’autre est ivre. N’avez-vous donc pas de maisons pour manger et pour boire? Ou bien méprisez-vous l’Eglise de Dieu et voulez-vous faire affront à ceux qui n’ont rien? Faut-il vous louer? Non, sur ce point, je ne vous loue pas.
En effet, voici ce que moi j’ai reçu du Seigneur, et ce que je vous ai transmis: le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et après avoir rendu grâce, il le rompit et dit: «Ceci est mon corps, qui est pour vous, faites cela en mémoire de moi.» Il fit de même pour la coupe, après le repas, en disant: «Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites cela toutes les fois que vous en boirez, en mémoire de moi.» Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, se rendra coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun s’éprouve soi-même avant de manger ce pain et de boire cette coupe; car celui qui mange et boit sans discerner le corps mange et boit sa propre condamnation. Voilà pourquoi il y a parmi vous tant de malades et d’infirmes et qu’un certain nombre sont morts.


EVANGILE DE JESUS-CHRIST SELON SAINT MATTHIEU   22, 15-21

Les pharisiens se concertèrent pour voir comment prendre en faute Jésus en le faisant parler. Ils lui envoient leurs disciples, accompagnés des partisans d'Hérode: «Maître, lui disent-ils, nous le savons: tu es toujours vrai et tu enseignes le vrai chemin de Dieu; tu ne te laisses influencer par personne, car tu ne fais pas de différence entre les gens. Donne-nous ton avis: Est-il permis, oui ou non, de payer l'impôt à l'empereur?»
Mais Jésus, connaissant leur perversité, riposta: «Hypocrites, pourquoi voulez-vous me mettre à l'épreuve? Montrez-moi la monnaie de l’impôt». Ils lui présentèrent une pièce d'argent. Il leur dit: «Cette effigie et cette légende, de qui sont-elles? – «De l'empereur César» répondirent-ils. Alors il leur dit: «Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu».

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