vendredi 20 février 2009

Lectures du dimanche 22 février

7ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE

Du livre d’Isaïe * 43, 18...25
Parole du Seigneur : « Ne vous souvenez pas des premiers événements et ne considérez plus ce qui est ancien. Voici que je fais une chose nouvelle, elle est maintenant en germe, ne la reconnaîtrez‑vous pas? Je mettrai un chemin dans le désert et des fleuves dans la terre aride. Le peuple que je me suis formé publiera mes louanges.
Et ce n'est pas moi que tu as invoqué, ô Jacob ! Car tu t'es lassé de moi, ô Israël ! Mais tu m'as astreint à la servitude par tes péchés, tu m'as lassé par tes fautes. C'est moi, moi qui efface tes crimes pour l'amour de moi, et je ne me souviendrai plus de tes péchés.

De la deuxième lettre de l’apôtre saint Paul aux Corinthiens 1, 18-22
Frères, aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n'a pas été ‘oui et non’. Car le Fils de Dieu, le Christ‑Jésus, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, par Silvain et par Timothée, n'a pas été oui et non, mais en lui il n'y a que oui. Toutes les promesses de Dieu sont ce ‘oui’ en lui. C'est donc aussi par lui que nous disons à Dieu l'amen pour sa gloire.

Celui qui nous affermit avec vous en Christ et qui nous a donné l'onction, c'est Dieu. Il nous a aussi marqués de son sceau et a mis dans nos coeurs les arrhes de l'Esprit.

EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT MARC * 2, 1-12

Jésus revint à Capharnaüm. On apprit qu'il était à la maison, et il s'assembla un si grand nombre de personnes qu'il n'y avait plus de place, même devant la porte. Il leur annonçait la parole.
On vint lui amener un paralytique porté par quatre hommes. Comme ils ne pouvaient le lui présenter, à cause de la foule, ils découvrirent le toit au‑dessus de l'endroit où se tenait Jésus, et ils descendirent par cette ouverture le lit sur lequel le paralytique était couché.
Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : « Mon enfant, tes péchés te sont pardonnés. »
Il y avait là quelques scribes qui étaient assis et qui raisonnaient en eux‑mêmes : « Comment celui‑là parle‑t‑il ainsi ? Il blasphème. Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul ? »
Jésus connut aussitôt par son esprit leurs raisonnements intérieurs et leur dit : « Pourquoi faites‑vous de tels raisonnements dans vos coeurs ? Qu'est‑ce qui est plus facile, de dire au paralytique: ” Tes péchés sont pardonnés,” ou de dire : “Lève‑toi, prends ton lit et marche “? Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés : Je te l'ordonne, dit‑il au paralytique, lève‑toi, prends ton lit et va dans ta maison. »
Et à l'instant, il se leva, prit son lit et sortit en présence de tous, de sorte qu'ils étaient hors d'eux‑mêmes et glorifiaient Dieu en disant : « Nous n'avons jamais rien vu de pareil. »

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