vendredi 27 mai 2011

2 cantates de Bach par la Chapelle des Minimes

ce dimanche 29 mai

à 10 heures 30

avant la messe
Jeudi 2 juin à 11 heures 30

Messe de l'Ascension

lectures du dimanche 29 mai à 11 heures 30











6ème DIMANCHE DE PAQUES (A)








Lecture du livre des Actes des Apôtres 8, 5-8, 14-17




C'est ainsi que Philippe, l'un des Sept, arriva dans une ville de Samarie, et là il proclamait le Christ. Les foules, d'un seul cœur, s'attachaient à ce que disait Philippe, car tous entendaient parler des signes qu'il accomplissait, ou même ils les voyaient. Beaucoup de possédés étaient délivrés des esprits mauvais, qui les quittaient en poussant de grands cris. Beaucoup de paralysés et d'infirmes furent guéris. Et il y eut dans cette ville une grande joie.




Les Apôtres, restés à Jérusalem, apprirent que la Samarie avait accueilli la parole de Dieu. Alors ils leur envoyèrent Pierre et Jean. A leur arrivée, ceux-ci prièrent pour les Samaritains afin qu'ils reçoivent le Saint-Esprit; en effet, l'Esprit n'était encore venu sur aucun d'entre eux: ils étaient seulement baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils recevaient le Saint-Esprit.








Lecture de la première lettre de saint Pierre Apôtre 3, 15-18




C'est le Seigneur, le Christ, que vous devez reconnaître dans vos cœurs comme le seul saint. Vous devez toujours être prêts à vous expliquer devant tous ceux qui vous demandent de rendre compte de l'espérance qui est en vous; mais faites-le avec douceur et respect. Ayez une conscience droite, pour faire honte à vos adversaires au moment même où ils calomnient la vie droite que vous menez dans le Christ. Car il vaudrait mieux souffrir pour avoir fait le bien, si c'était la volonté de Dieu, plutôt que pour avoir fait le mal. C'est ainsi que le Christ est mort pour les péchés, une fois pour toutes; lui, le juste, il est mort pour les coupables afin de vous introduire devant Dieu. Dans sa chair, il a été mis à mort; dans l'esprit, il a été rendu à la vie.








EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT JEAN 14, 15-21








Si vous m'aimez, vous resterez fidèles à mes commandements. Moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Défenseur qui sera pour toujours avec vous: c'est l'Esprit de vérité. Le monde est incapable de le recevoir, parce qu'il ne le voit pas et ne le connaît pas; mais vous, vous le connaissez, parce qu'il demeure auprès de vous, et qu'il est en vous. Je ne vous laisserai pas orphelins, je reviens vers vous. D'ici peu de temps, le monde ne me verra plus, mais vous, vous me verrez vivant, et vous vivrez aussi. En ce jour-là, vous reconnaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et moi en vous. Celui qui a reçu mes commandements et y reste fidèle, c'est celui-là qui m'aime; et celui qui m'aime sera aimé de mon Père; moi aussi je l'aimerai, et je me manifesterai à lui.»

L U P O U R V O U S

Grande-Bretagne: privation de chair le vendredi; le MOC favorable à une société égalitaire, solidaire et durable; le Cardinal André Vingt-Trois à propos de la loi de bioéthique; L'Assemblée nationale française dit "non" à la recherche sur l'embryon; le gouvernement français doit décider; les "blogs", communication d'avenir pour l'Eglise? 5 juin: journée églises ouvertes;




Catho.be du 23 au 27.5.2011, La Vie n° 84

lundi 9 mai 2011

NOUVELLES (?) DU FRONT.....




Un mot de votre Curé.....

J'ai reçu le lundi 2 mai, la visite de Monseigneur Léonard, le jour de la saint Jacques.
Monseigneur a tout d'abord demandé que j'oeuvre de manière à trouver pour un prêtre qui veut se préoccuper d'oecuménisme (qui est un ancien pasteur protestant marié et père de famille) un logement. Mais évidemment, là où il est curé (Dave), le problème de l'oecuménisme ne se pose pas. Il vient donc habiter Bruxelles et Monseigneur voulait s'assurer de la possibilité que nous aurions de l'accueillir .... Je lui ai dit qu'il m'était possible de chercher.

Et comme il était là, je me suis permis de lui parler de mon mandat d'"administrateur paroissial", qui n'avait pas été formellement prolongé. Je me trouvais donc dans une situation semblable à celle dans laquelle je me suis trouvé pendant 20 ans à la paroisse, au décès de Monsieur Crussol, mon curé. Au moment de son départ, j'ai averti le Doyen Vandenberghe du fait que je perdais tout pouvoir de célébrer les sacrements.... etc. Monseigneur Vandenberghe m'a dit qu'il me donnait les pouvoirs nécessaires. Mais à l'examen (lecture du Droit Canon), il est apparu au bout de quelques mois que je ne pouvais pas continuer comme cela et qu'il me fallait un mandat formel pour pouvoir exercer mes fonctions. Après avoir écrit au Doyen, j'ai attendu quelques mois... ensuite, j'ai écrit à notre évêque, Monseigneur Lanneau. Je n'ai jamais reçu ni d'accusé de réception ni de réponse à ma demande. J'ai donc écrit au Cardinal et là, même situation: pas d'accusé de réception et pas de réponse. Le peuple était là, dont quelques uns demandaient le secours des sacrements, j'ai donc pensé: "ecclesia supplet" et j'ai attendu 20 ans. Un jour, un nouveau Doyen a été nommé, Raymond Van Schoubroeck. Je l'ai rencontré par hasard rue haute et il m'a dit: "quel est ton statut"? J'ai répondu que je n'existais pas ecclésiastiquement parlant en tant que curé. Il a dit qu'il allait s'en occuper et 3 jours après, je recevais une nomination dûment signée par le Cardinal Danneels.





Pour sa part, Monseigneur Léonard n'envisage pas, pour le moment ma mise forcée à la retraite.... je pourrais rester aussi longtemps que j'en serai capable...

Je lui ai parlé des tradis que nous accueillons. Je lui ai dit qu'ils étaient extrêmemnt désireux d'étendre leur action le plus possible. La-dessus je lui ai demandé si l'extension des activités prévues et demandées (ce qui nécessiterait par exemple le déplacement de la mise en voix des cantates du dimanche matin....) pourrait se faire ailleurs que dans notre église: il m'a répondu qu'ils n'étaient pas attachés aux Minimes et donc pourraient occuper une des églises vides actuellement. Ici, ils ne sont que "accueillis".

vendredi 6 mai 2011

lectures du dimanche 8 mai à 11 heures 30





3ème DIMANCHE DE PAQUES









Du livre des Actes des Apôtres 2, 14.22b-33



Le jour de la Pentecôte, Pierre, debout avec les onze autres Apôtres, prit la parole; il dit d'une voix forte: «Habitants de la Judée, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, comprenez ce qui se passe aujourd'hui, écoutez bien ce que je vais vous dire. Il s'agit de Jésus le Nazaréen, cet homme dont Dieu avait fait connaître la mission en accomplissant par lui des miracles, des prodiges et des signes au milieu de vous, comme vous le savez bien. Cet homme, livré selon le plan et la volonté de Dieu, vous l'avez fait mourir en le faisant clouer à la croix par la main des païens. Or, Dieu l'a ressuscité en mettant fin aux douleurs de la mort, car il n'était pas possible qu'elle le retienne en son pouvoir. En effet, c'est de lui que parle le psaume de David : «Je regardais le Seigneur sans relâche, s'il est à mon côté, je ne tombe pas. Oui, mon cœur est dans l'allégresse, ma langue chante de joie; ma chair elle-même reposera dans l'espérance : tu ne peux pas m'abandonner à la mort ni laisser ton fidèle connaître la corruption. Tu m'as montré le chemin de la vie, tu me rempliras d'allégresse par ta présence». Frères, au sujet de David notre père, on peut vous dire avec assurance qu'il est mort, qu'il a été enterré, et que son tombeau est encore aujourd'hui chez nous. Mais il était prophète, il savait que Dieu lui avait juré de faire asseoir sur son trône un de ses descendants. Il a vu d'avance la résurrection du Christ, dont il a parlé ainsi : Il n'a pas été abandonné à la mort, et sa chair n'a pas connu la corruption. Ce Jésus, Dieu l'a ressuscité; nous tous, nous en sommes témoins. Elevé dans la gloire par la puissance de Dieu, il a reçu de son Père l'Esprit-Saint qui était promis et il l' a répandu dur nous : c'est cela que vous voyez et que vous entendez. »






De la première lettre de saint Pierre apôtre 1, 17-21



Frères, vous invoquez comme votre Père celui qui ne fait pas de différence entre les hommes mais qui les juge chacun d'après ses actes; vivez donc, pendant votre séjour sur terre, dans la crainte de Dieu.





Vous le savez : ce qui vous a libérés de la vie sans but que vous meniez à la suite de vos pères, ce n'est pas l'or et l'argent, car ils seront détruits; c'est le sang précieux du Christ, l'Agneau sans défaut et sans tache. Dieu l'avait choisi dès avant la création du monde, et il l'a manifesté à cause de vous, en ces temps qui sont les derniers. C'est par lui que vous croyez en Dieu, qui l'a ressuscité d'entre les morts et lui a donné la gloire; ainsi vous mettez votre foi et votre espérance en Dieu.






EVANGILE DE JÉSUS CHRIST SELON SAINT LUC 24, 13-35





Le troisième jour après la mort de Jésus, deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, et ils parlaient ensemble de tout ce qui s'était passé. Or, tandis qu'ils parlaient et discutaient, Jésus lui-même s'approcha et il marchait avec eux. Mais leurs yeux étaient aveuglés et ils ne le reconnaissaient pas.





Jésus leur dit : «De quoi causiez-vous donc tout en marchant ? Vous avez l'air si triste!» L'un des deux, nommé Cléophas, répondit: «Tu es bien le seul de tous ceux qui étaient à Jérusalem, à ignorer les événements de ces jours-ci.» Il leur dit: «Quels événements?» Ils lui répondirent: «Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth: cet homme était un prophète puissant par ses actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple. Les chefs des prêtres et nos dirigeants l'ont livré, ils l'ont fait condamner à mort et ils l'ont crucifié. Et nous qui espérions qu'il serait le libérateur d'Israël! Avec tout cela, voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c'est arrivé. A vrai dire, nous avons été bouleversés par quelques femmes de notre groupe. Elles sont allées au tombeau de très bonne heure, et elles n'ont pas trouvé son corps; elles sont même venues nous dire qu'elles avaient eu une apparition: des anges qui disaient qu'il est vivant. Quelques uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l'avaient dit; mais lui, ils ne l'ont pas vu.»





Il leur dit alors: «Vous n'avez donc pas compris! Comme votre cœur est lent à croire tout ce qu'ont dit les prophètes! Ne fallait-il pas que le Messie souffrit tout cela pour entrer dans sa gloire?» Et, en partant de Moïse et de tous les prophètes, il leur expliqua, dans toute l'Ecriture, ce qui le concernait.





Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d'aller plus loin. Mais ils s'efforcèrent de le retenir: «Reste avec nous: le soir approche et déjà le jour baisse.» Il entra donc pour rester avec eux. Quand il fut à table avec eux, il prit le pain, dit la bénédiction, le rompit et le leur donna. Alors leurs yeux s'ouvrirent et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards. Alors ils se dirent l'un à l'autre: «Notre cœur n'était-il pas brûlant en nous, tandis qu'il nous parlait sur la route et qu'il nous faisait comprendre les Ecritures?» A l'instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent: «C'est vrai! le Seigneur est ressuscité: il est apparu à Simon-Pierre.» A leur tour, ils racontèrent ce qui s'était passé sur la route et comment ils l'avaient reconnu quand il avait rompu le pain.

jeudi 5 mai 2011

"LA" BEATIFICATION



Reportage; célébration à Tournai; Jean-Paul II, un exemple à suivre; une veillée de témoignages; messe de béatification; de l'homélie du Pape; analyse de la popularité de Jean-Paul II; l'hommage populaire; témoignage d'un jeune; la ferveur ne faiblit pas; Jean-Paul II et l'Islam, témoignage; une médaille;

L U P O U R V O U S

Le who's who des évêques de Belgique; campagne mondiale de scolarisation; Ben Laden mort, les chrétiens pakistanais craignent les représailles; Conférences sur Catherine de Sienne; jardins mystiques du coeur de l'Europe, chez les Dominicains; Saint Jean d'Avila, docteur de l'Eglise?; La liberté religieuse à nouveau menacée, déplore le Pape; l'enseignement en crise; rencontre avec Enzo Bianchi; l'Agneau mystique bientôt restauré; les évêques de Méditerranée prônent l'accueil des migrants.

(Catho.be du 2 au 6.5.2011)