vendredi 14 octobre 2011

lectures du dimanche 16 octobre à 11 heures 30

29ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE

Les textes du feuillet liturgiques sont différents car adaptés au «Banquet des Corinthiens»















Lecture du livre d’Isaïe 45, 1. 4-6a
Ainsi parle le SEIGNEUR à son messie: A Cyrus que je tiens par sa main droite, pour abaisser devant lui les nations, pour déboucler la ceinture des rois, pour déboucler devant lui les battants, pour que les portails ne restent pas fermés: C'est à cause de mon serviteur Jacob, oui, d'Israël, mon élu, que je t'ai appelé par ton nom; je t'ai qualifié, sans que tu me connaisses. C'est moi qui suis le Seigneur, il n'y en a pas d'autre, moi excepté, nul n'est dieu! Je t'ai mis le ceinturon, sans que tu me connaisses, afin qu'on reconnaisse, au levant du soleil comme à son couchant, qu'en dehors de moi: néant!















Commencement de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 1, 1-5b







Paul, Silvain et Timothée à l'Eglise des Thessaloniciens qui est en Dieu le Père et dans le Seigneur Jésus Christ. A vous grâce et paix. Nous rendons continuellement grâce à Dieu pour vous tous quand nous faisons mention de vous dans nos prières; sans cesse, nous gardons le souvenir de votre foi active, de votre amour qui se met en peine, et de votre persévérante espérance, qui nous viennent de notre Seigneur Jésus Christ, devant Dieu notre Père, sachant bien, frères aimés de Dieu, qu'il vous a choisis. En effet, notre annonce de l'Evangile chez vous n'a pas été seulement discours, mais puissance, action de l'Esprit Saint, et merveilleux accomplissement.















EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT MATTHIEU 22, 15-21

Alors les Pharisiens allèrent tenir conseil afin de le prendre au piège en le faisant parler. Ils lui envoient leurs disciples, avec les Hérodiens, pour lui dire: «Maître, nous savons que tu es franc et que tu enseignes les chemins de Dieu en toute vérité, sans te laisser influencer par qui que ce soit, car tu ne tiens pas compte de la condition des gens. Dis-nous donc ton avis: Est-il permis, oui ou non, de payer le tribut à César?» Mais Jésus, s'apercevant de leur malice, dit: «Hypocrites! Pourquoi me tendez-vous un piège? Montrez-moi la monnaie qui sert à payer le tribut.» Ils lui présentèrent une pièce d'argent. Il leur dit: «Cette effigie et cette inscription, de qui sont-elles?» Ils répondent: «De César.» Alors il leur dit: «Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.»

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