vendredi 17 février 2012

lectures du dimanche 19 février à 11 heures 30

7ème DIMANCHE ORDINAIRE

Lecture Du livre d’Isaïe 43, 18-19. 21-22. 24c-25
«Ne pensez plus au passé, ne vous préoccupez plus de ce qui est derrière vous. Car je vais faire du nouveau; on le voit déjà paraître, vous saurez bien le reconnaître. Oui, dans le désert je vais ouvrir un chemin, dans ces lieux arides je vais faire couler des fleuves. Et ce peuple, que j'ai formé, dira pourquoi il me loue.» Le Seigneur déclare: «Israël, ce n'est pas à moi que tu as fait appel; tu t'es plutôt lassé de moi, peuple de Jacob. Par tes fautes, au contraire, tu as fait de moi ton esclave, par tes crimes, tu m'as fatigué. Mais je prends sur moi de pardonner tes révoltes et de ne plus garder le souvenir de tes fautes.

Lecture de la seconde lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 1, 18-22
Dieu m'en est témoin, ce que je vous ai dit n'était pas à la fois «oui» et «non». Car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que nous avons annoncé chez vous, Silas, Timothée et moi-même, n'est pas venu pour dire «oui» et «non». Au contraire, en lui il n'y a jamais eu que «oui»: en effet, il est le «oui» qui confirme toutes les promesses de Dieu. C'est donc par Jésus-Christ que nous disons notre «amen» pour rendre gloire à Dieu. Et c'est Dieu lui-même qui nous affermit avec vous dans la vie avec le Christ. Dieu lui-même nous a choisis, il nous a marqués à son nom et il a répandu dans nos cœurs le Saint-Esprit comme garantie des biens qu'il nous réserve.

EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT MARC 2, 1-12

Quelques jours plus tard, Jésus revint à Capharnaüm, et l'on apprit qu'il était à la maison. Une foule de gens s'assembla, si bien qu'il ne restait plus de place, pas même dehors devant la porte. Jésus leur donnait son enseignement. Quelques hommes arrivèrent, lui amenant un paralysé porté par quatre d'entre eux. Mais ils ne pouvaient pas le présenter à Jésus, à cause de la foule. Ils ouvrirent alors le toit au-dessus de l'endroit où était Jésus; par le trou qu'ils avaient fait, ils descendirent le paralysé étendu sur sa natte. Quand Jésus vit la foi de ces hommes, il dit au paralysé: «Mon fils, tes péchés sont pardonnés.» Quelques maîtres de la loi, qui étaient assis là, pensaient en eux-mêmes: «Pourquoi cet homme parle-t-il ainsi? Il fait insulte à Dieu. Qui peut pardonner les péchés? Dieu seul le peut!» Jésus devina aussitôt ce qu'ils pensaient et leur dit: «Pourquoi avez-vous de telles pensées? Est-il plus facile de dire au paralysé: “Tes péchés sont pardonnés”, ou de dire: “Lève-toi, prends ta natte et marche”? Mais je veux que vous le sachiez: le Fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés.» Alors il adressa ces mots au paralysé: «Je te le dis, lève-toi, prends ta natte, et rentre chez toi!» Aussitôt, tandis que tout le monde le regardait, l'homme se leva, prit sa natte et partit. Ils furent tous frappés d'étonnement; ils louaient Dieu et disaient: «Nous n'avons jamais rien vu de pareil!»

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