lundi 28 septembre 2009
Dans notre paroisse
vendredi 25 septembre 2009
Lectures du dimanche 27 septembre
26ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
Du livre des Nombres 11, 25-29
Le Seigneur descendit dans la nuée pour s’entretenir avec Moïse. Il prit une part de l’esprit qui reposait sur celui-ci et le mit sur les septante anciens du peuple. Dès que l’esprit reposa sur eux, ils se mirent à prophétiser, mais cela ne dura pas. Or deux hommes étaient restés dans le camp: l’un s’appelait Eldad et l’autre Médad. L’esprit reposa sur eux. Bien que n’étant pas venus à la tente de la Rencontre, ils comptaient parmi les anciens qui avaient été choisis, et c’est dans le camp qu’ils se mirent à prophétiser. Un jeune homme courut annoncer à Moïse: «Eldad et Médad prophétisent dans le camp!» Josué, fils de Noun, serviteur de Moïse depuis sa jeunesse, prit la parole: «Moïse, mon maître, arrête-les!» Mais Moïse lui dit: «Serais-tu jaloux pour moi ? Ah ! Si le Seigneur pouvait mettre son esprit sur eux, pour faire de tout son peuple un peuple de prophètes!»
Ecoutez-moi, vous, les gens riches! Pleurez, lamentez-vous, car des malheurs vous attendent. Vos richesses sont pourries, vos vêtements sont mangés des mites, votre or et votre argent sont rouillés. Cette rouille vous accusera, elle dévorera vos chairs comme un feu. Vous avez amassé de l’argent alors que nous sommes dans les derniers temps! Des travailleurs ont moissonnés vos terres et vous ne les avez pas payés; leur salaire crie vengeance et les revendications des moissonneurs sont arrivées aux oreilles du Seigneur de l’univers. Vous avez recherché sur terre le plaisir et le luxe et vous avez fait bombance pendant qu’on massacrait des gens. Vous avez condamné le juste et vous l’avez tué sans qu’il vous résiste.
EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT MARC 9, 38-48
Jean, l’un des Douze, disait à Jésus: «Maître, nous avons vu quelqu’un chasser des esprits mauvais en ton nom; nous avons voulu l’en empêcher car il n’est pas de ceux qui nous suivent.» Jésus répondit: «Ne l’empêchez pas car celui qui fait un miracle en mon nom, ne peut pas, aussitôt après, mal parler de moi; celui qui n’est pas contre nous est pour nous. Et celui qui donnera un verre d’eau au nom de votre appartenance au Christ, amen, je vous le dis, il ne restera pas sans récompense. Celui qui entraînera la chute d’un seul de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu’on lui attache au cou une de ces meules que tournent les ânes et qu’on le jette à la mer. Et si ta main t’entraîne au péché, coupe-la. Il vaut mieux entrer manchot dans la vie éternelle que d’être jeté avec tes deux mains dans la géhenne, là où le feu ne s’éteint pas. Si ton pied t’entraîne au péché, coupe-le. Il vaut mieux entrer estropié dans la vie éternelle que d’être jeté avec tes deux pieds dans la géhenne. Si ton œil t’entraîne au péché, arrache-le. Il vaut mieux entrer borgne dans le Royaume de Dieu que d’être jeté avec tes deux yeux dans la géhenne, là où le ver ne meurt pas et où le feu ne s’éteint pas!»
vendredi 18 septembre 2009

Chapelle des Minimes
A lire
lectures du dimanche 20 septembre
25ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
Du livre de la Sagesse 2, 12.17-20
Ceux qui méditent le mal se disent en eux-mêmes: « Attirons le juste dans un piège, car il nous contrarie, il s’oppose à notre conduite, il nous reproche de désobéir à la loi de Dieu et nous accuse d’abandonner nos traditions. Voyons si ses paroles sont vraies, regardons où il aboutira. Si ce juste est fils de Dieu, Dieu l’assistera et le délivrera de ses adversaires. Soumettons-le à des outrages et à des tourments, nous saurons ce que vaut sa douceur, nous éprouverons sa patience. Condamnons-le à une mort infâme, puisque, dit-il, quelqu’un veillera sur lui. »
Frères, la jalousie et les rivalités mènent au désordre et à toutes sortes d’actions malfaisantes. Au contraire, la sagesse qui vient de Dieu est d’abord droiture et par suite elle est paix, tolérance, compréhension; elle est pleine de miséricorde et féconde en bienfaits, sans partialité et sans hypocrisie. C’est dans la paix qu’est semée la justice, qui donne son fruit aux artisans de la paix.
D’où viennent les guerres, d’où viennent les conflits entre vous ? N’est-ce pas justement de tous ces instincts qui mènent leur combat en vous-mêmes ? Vous êtes pleins de convoitises et vous n’obtenez rien, alors vous tuez; vous êtes jaloux et vous n’arrivez pas à vos fins, alors vous entrez en conflit et vous faites la guerre. Vous n’obtenez rien parce que vous ne priez pas; vous priez, mais vous ne recevez rien parce que votre prière est mauvaise: vous demandez des richesses pour satisfaire vos instincts.
EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT MARC 20, 1-16
Jésus traversait la Galilée avec ses disciples et il ne voulait pas qu’on le sache. Car il les instruisait en disant: «Le Fils de l’homme est livré aux mains des hommes; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera.» Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient peur de l’interroger.
Ils arrivèrent à Capharnaüm. Une fois à la maison, Jésus leur demandait: «De quoi discutiez-vous en chemin»? Ils se taisaient car, sur la route, ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand.
S’étant assis, Jésus appela les Douze et leur dit: «Si quelqu’un veut être le premier, qu’il soit le dernier de tous et le serviteur de tous.» Prenant alors un enfant, il le plaça au milieu d’eux, l’embrassa et leur dit: «Celui qui accueille en mon nom un enfant comme celui-là, c’est moi qu’il accueille. Et celui qui m’accueille, ne m’accueille pas moi, mais Celui qui m’a envoyé. »
vendredi 11 septembre 2009
27 septembre - dimanche des médias
Lectures du dimanche 13 septembre
24ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
Du livre d’Isaïe 50, 5-9
Parole du Serviteur de Dieu:
Le Seigneur Dieu m'a ouvert l'oreille
et moi, je ne me suis pas révolté,
je ne me suis pas dérobé.
J'ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient,
et mes joues à ceux qui m'arrachaient la barbe
Je n'ai pas protégé mon visage des outrages et des crachats.
Le Seigneur Dieu vient à mon secours, c'est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages,
c'est pourquoi j'ai rendu mon visage dur comme pierre:
je sais que je ne serai pas confondu.
Il est proche, celui qui me .justifie.
Quelqu'un veut-il plaider contre moi ?
Comparaissons ensemble.
Quelqu'un a-t-il une accusation à porter contre moi ?
Qu'il s'avance !
Voici le Seigneur Dieu qui vient prendre ma défense: qui donc me condamnera?
De la lettre de saint Jacques apôtre 2, 14-18
Mes frères, si quelqu'un prétend avoir la foi, alors qu'il n'agit pas, à quoi cela sert-il? Cet homme-là peut-il être sauvé par sa foi?
Supposons que l'un de nos frères ou l'une de nos sœurs n'aient pas de quoi s'habiller, ni de quoi manger tous les jours; si l'un de vous leur dit: «Rentrez tranquillement chez vous! Mettez-vous au chaud, et mangez à votre faim!» et si vous ne leur donnez pas ce que réclame leur corps, à quoi cela sert-il? Ainsi donc, celui qui n'agit pas, sa foi est bel et bien morte, et on peut lui dire: «Tu prétends avoir la foi, moi, je la mets en pratique. Montre-moi donc ta foi qui n'agit pas; moi, c'est par mes actes que je te montrerai ma foi».
mardi 8 septembre 2009
vendredi 4 septembre 2009
Lectures du dimanche 6 septembre
23ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
Du livre d'Isaïe 35, 4
Dites aux gens qui s'affolent: «Prenez courage, ne craignez pas. Voici votre Dieu: c'est la vengeance qui vient, la revanche de Dieu. Il vient lui-même et va vous sauver». Alors s'ouvriront les yeux des aveugles et les oreilles des sourds. Alors le boiteux bondira comme un cerf, et la bouche du muet criera de joie. L'eau jaillira dans le désert, des torrents dans les terres arides. Le pays torride se changera en lac; la terre de la soif, en eaux jaillissantes.
Mes frères, ne mêlez pas des considérations de personnes avec la foi en Jésus Christ, notre Seigneur de gloire. Imaginons que, dans votre assemblée, arrivent en même temps un homme aux vêtements rutilants, portant des bagues en or, et un homme pauvre aux vêtements sales. Vous vous tournez vers l'homme qui porte des vêtements rutilants et vous lui dites: «Prends ce siège, et installe-toi bien»; et vous dites au pauvre: «Toi, reste là debout», ou bien: «Assieds-toi par terre à mes pieds». Agir ainsi, n'est-ce pas faire des différences entre vous, et juger selon des valeurs fausses? Ecoutez donc, mes frères bien-aimés. Dieu, lui, n'a-t-il pas choisi ceux qui sont pauvres aux yeux du monde? Il les a faits riches de la foi, il les a faits héritiers du Royaume qu'il a promis à ceux qui l'auront aimé.