vendredi 16 septembre 2011

lectures du dimanche 18 septembre à 11 heures 30

25ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE











Lecture du livre d’Isaïe 55, 6-9
Cherchez le Seigneur tant qu'il se laisse trouver. Invoquez-le tant qu'il est proche. Que le méchant abandonne son chemin, et l'homme pervers, ses pensées! Qu'il revienne vers le Seigneur qui aura pitié de lui, vers notre Dieu qui est riche en pardon. Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et mes chemins ne sont pas vos chemins, déclare le Seigneur. Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus des vôtres, et mes pensées, au-dessus de vos pensées.







Lecture de la lettre de saint Paul Apôtres aux Philippiens 1, 20c-24. 27a
Frères, soit que je vive, soit que je meure, la grandeur du Christ sera manifestée dans mon corps. En effet, pour moi, vivre c'est le Christ, et mourir est un avantage. Mais si, en vivant en ce monde, j'arrive à faire un travail utile, je ne sais plus comment choisir. Je me sens pris entre les deux: je voudrais bien partir pour être avec le Christ, car c'est bien cela le meilleur; mais, à cause de vous, demeurer en ce monde est encore plus nécessaire.
Quant à vous, menez une vie digne de l'Évangile du Christ.







EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT MATTHIEU 20, 1-16a







Jésus disait cette parabole: «Le Royaume des cieux est comparable au maître d'un domaine qui sortit au petit jour afin d'embaucher des ouvriers pour sa vigne. Il se mit d'accord avec eux sur un salaire d'une pièce d'argent pour la journée, et il les envoya à sa vigne. Sorti vers neuf heures, il en vit d'autres qui étaient là, sur la place, sans travail. Il leur dit: 'Allez, vous aussi, à ma vigne, et je vous donnerai ce qui est juste.' Ils y allèrent. Il sortit de nouveau vers midi, puis vers trois heures, et fit de même. Vers cinq heures, il sortit encore, en trouva d'autres qui étaient là et leur dit: 'Pourquoi êtes-vous restés là, toute la journée, sans rien faire?' Ils lui répondirent: 'Parce que personne ne nous a embauchés.' Il leur dit: 'Allez, vous aussi, à ma vigne.' Le soir venu, le maître de la vigne dit à son intendant: 'Appelle les ouvriers et distribue le salaire, en commençant par les derniers pour finir par les premiers.' Ceux qui n'avaient commencé qu'à cinq heures s'avancèrent et reçurent chacun une pièce d'argent. Quand vint le tour des premiers, ils pensaient recevoir davantage, mais ils reçurent, eux aussi, chacun une pièce d'argent. En la recevant, ils récriminaient contre le maître du domaine: 'Ces derniers venus n'ont fait qu'une heure, et tu les traites comme nous, qui avons enduré le poids du jour et de la chaleur!' Mais le maître répondit à l'un d'entre eux: 'Mon ami, je ne te fais aucun tort. N'as-tu pas été d'accord avec moi pour une pièce d'argent? Prends ce qui te revient, et va-t'en. Je veux donner à ce dernier autant qu'à toi: n'ai-je pas le droit de faire ce que je veux de mon bien? Vas-tu regarder avec un œil mauvais parce que moi, je suis bon?' Ainsi les derniers seront premiers, et les premiers seront derniers.»

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