vendredi 22 octobre 2010

lectures du dimanche 24 octobre à 11 heures 30

Du livre de Ben Sirac le Sage 35, 12... 18

Le Seigneur est un juge qui ne fait pas de différence entre les hommes. Il ne défavorise pas le pauvre, il écoute la prière de l'opprimé. Il ne méprise pas la supplication de l'orphelin, ni la plainte répétée de la veuve. Celui qui sert Dieu de tout son cœur est bien accueilli et sa prière parvient jusqu'au ciel. La prière du pauvre traverse les nuées; tant qu'elle n'a pas atteint son but, il demeure inconsolable. Il ne s'arrête pas avant que le Très-Haut ait jeté les yeux sur lui, prononcé en faveur des justes et rendu justice.


De la seconde lettre de saint Paul apôtre à Timothée 4, 6 – 22

Pour moi, me voici déjà offert en libation et le moment de mon départ approche. J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m'est réservée; le Seigneur, le juste juge, me la donnera en ce Jour-là, et non seulement à moi, mais à tous ceux qui auront aimé son apparition.

Dans ma première défense, personne ne m'a assisté, mais tous m'ont abandonné. Qu'il ne leur en soit pas tenu compte. C'est le Seigneur qui m'assisté et qui m'a fortifié, afin que la prédication soit portée par moi à sa plénitude et entendue de tous les païens. Et j'ai été délivré de la gueule du lion. Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise et me sauvera pour me faire entrer dans son royaume céleste. A lui la gloire aux siècles des siècles! Amen!


EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT LUC 18, 9-14


Jésus dit encore cette parabole pour certaines personnes qui se persuadaient d'être justes et qui méprisaient les autres: «Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était pharisien et l'autre péager. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont accapareurs, injustes, adultères, ou même comme ce péager; je jeune deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le péager se tenait à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais se frappait la poitrine et disait: O Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé et celui qui s'abaisse sera élevé.»

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