vendredi 8 mai 2009

Lectures du dimanche 10 mai

5e DIMANCHE de PAQUES

Des Actes des Apôtres 9, 26-31
Après sa conversion, Paul vint à Jérusalem. Il cherchait à entrer dans le groupe des disciples, mais tous avaient peur de lui, car ils ne pouvaient pas croire que lui aussi était un disciple du Christ. Alors Barnabé le prit avec lui et le présenta aux Apôtres; il leur raconta ce qui s’était passé : sur la route, Paul avait vu le Seigneur, qui lui avait parlé; à Damas, il avait prêché avec assurance au nom de Jésus. Dès lors, Paul allait et venait dans Jérusalem avec les Apôtres, prêchant avec assurance au nom du Seigneur. Il parlait aux Juifs de langue grecque, et discutait avec eux. Mais ceux-ci cherchaient à le supprimer. Les frères l’apprirent; alors ils l’accompagnèrent jusqu’à Césarée et le firent partir pour Tarse.
L’Eglise était en paix dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie. Dans la crainte du Seigneur, elle se construisait et elle avançait; elle se multipliait avec l’assistance de l’Esprit Saint.

De la première lettre de saint Jean 3, 18-24
Mes enfants, nous devons aimer : non pas avec des paroles et des discours, mais par des actes et en vérité. En agissant ainsi, nous reconnaîtrons que nous appartenons à la vérité et devant Dieu, nous aurons le coeur en paix; notre coeur aurait beau nous accuser, Dieu est plus grand que notre coeur et il connaît toutes choses.
Mes bien-aimés, si notre coeur ne nous accuse pas, nous nous tenons avec assurance devant Dieu et tout ce que nous lui demandons, il nous l’accorde, parce que nous sommes fidèles à ses commandements et que nous faisons ce qui lui plaît. Or, voici son commandement : avoir foi en son Fils Jésus Christ, et nous aimer les uns les autres comme il nous l’a commandé. Et celui qui est fidèle à ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui; et nous reconnaissons qu’il demeure en nous, puisqu’il nous a donné son Esprit.

EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT JEAN 15, 1-8
Avant de passer de ce monde à son Père, Jésus disait à ses disciples :« Moi, je suis la vraie vigne et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève; tout sarment qui donne du fruit, il le nettoie pour qu’il en donne davantage. Pour vous, vous êtes déjà nets et purifiés grâce à la parole que je vous ai dite : demeurez en moi comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter du fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi. Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi, et en qui je demeure, celui-là donne beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est comme un sarment que l’on a jeté dehors et qui se dessèche.Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu et ils brûlent.. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voudrez et vous l’obtiendrez. Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous donniez beaucoup de fruit : ainsi, vous serez pour moi des disciples.»

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