PREMIER DIMANCHE DE L'AVENT
Du livre d'Isaïe 63, 16...64, 7
Tu es, Seigneur, notre Père, notre Rédempteur : tel est ton nom depuis toujours. Pourquoi, Seigneur, nous laisses-tu errer hors de ton chemin, pourquoi rends-tu nos coeurs insensibles à ta crainte ? Reviens, pour l'amour de tes serviteurs et des tribus qui t'appartiennent. Ah! si tu déchirais les cieux, si tu descendais, les montagnes fondraient devant toi.
Voici que tu es descendu, et les montagnes ont fondu comme de la cire. Jamais, on ne l'a entendu ni appris, personne n'a vu un autre Dieu que toi agir envers l'homme qui espère en lui. Tu viens à la rencontre de celui qui pratique la justice avec joie et qui se souvient de toi en suivant ton chemin. Tu étais irrité par notre obstination dans le péché, et pourtant nous serons sauvés. Nous étions tous semblables à des hommes souillés, et toutes nos belles actions étaient comme des vêtements salis. Nous étions tous desséchés comme des feuilles, et nos péchés, comme le vent, nous emportaient. Personne n'invoquait ton nom, nul ne se réveillait pour recourir à toi. Car tu nous avais caché ton visage, tu nous avais laissés au pouvoir de nos péchés. Pourtant, Seigneur, tu es notre Père. Nous sommes l'argile, et tu es le potier : nous sommes tous l'ouvrage de tes mains.
Tu es, Seigneur, notre Père, notre Rédempteur : tel est ton nom depuis toujours. Pourquoi, Seigneur, nous laisses-tu errer hors de ton chemin, pourquoi rends-tu nos coeurs insensibles à ta crainte ? Reviens, pour l'amour de tes serviteurs et des tribus qui t'appartiennent. Ah! si tu déchirais les cieux, si tu descendais, les montagnes fondraient devant toi.
Voici que tu es descendu, et les montagnes ont fondu comme de la cire. Jamais, on ne l'a entendu ni appris, personne n'a vu un autre Dieu que toi agir envers l'homme qui espère en lui. Tu viens à la rencontre de celui qui pratique la justice avec joie et qui se souvient de toi en suivant ton chemin. Tu étais irrité par notre obstination dans le péché, et pourtant nous serons sauvés. Nous étions tous semblables à des hommes souillés, et toutes nos belles actions étaient comme des vêtements salis. Nous étions tous desséchés comme des feuilles, et nos péchés, comme le vent, nous emportaient. Personne n'invoquait ton nom, nul ne se réveillait pour recourir à toi. Car tu nous avais caché ton visage, tu nous avais laissés au pouvoir de nos péchés. Pourtant, Seigneur, tu es notre Père. Nous sommes l'argile, et tu es le potier : nous sommes tous l'ouvrage de tes mains.
De la lettre de Saint Paul apôtre aux Corinthiens 1, 3-9
Frères, que la grâce et la paix soient avec vous, de la part de Dieu notre Père et de Jésus Christ le Seigneur. A cause de vous, je remercie Dieu, à tout instant, pour la grâce qu'il vous a donnée dans le Christ Jésus; en lui vous avez reçu toutes les richesses, toutes celles de la Parole et toutes celles de la connaissance de Dieu. Car le témoignage rendu au Christ s'est implanté solidement parmi vous. Ainsi aucun don spirituel ne vous manque, à vous qui attendez de voir se révéler notre Seigneur Jésus Christ. C'est lui qui vous fera tenir solidement jusqu'au bout, et vous serez sans reproche au jour de notre Seigneur Jésus Christ. Car Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à vivre en communion avec son Fils, Jésus Christ notre Seigneur.
EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT MARC 13, 33-37
J ésus parlait à ses disciples de sa venue :
« Prenez garde, veillez : car vous ne savez pas quand viendra le moment. Il en est comme d'un homme parti en voyage : en quittant sa maison, il a donné tout pouvoir à ses serviteurs, fixé à chacun son travail, et recommandé au portier de veiller. Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra, le soir, ou à minuit, au chant du coq ou le matin. Il peut arriver à l'improviste et vous trouver endormis.
Ce que je vous dis là, je le dis à tous : Veillez ! »
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