vendredi 26 février 2010

Notre nouvel archevêque

Ce week end, Monseigneur Léonard prendra sa charge de Primat de Belgique. Programme.

Lectures du dimanche 28 février à 11 heures 30


2ème DIMANCHE DE CAREME

Du livre de la Genèse 15, 5...18

Le Seigneur parlait à Abraham dans une vision. Puis il le fit sortir au-dehors et lui dit: «Regarde le ciel, et compte les étoiles, si tu le peux...» Et il déclara: «Telle sera ta descendance.» Abraham eut foi dans le Seigneur, et le Seigneur le déclara juste. Puis il dit: «Je suis le Seigneur, qui t'ai fait sortir d'Our en Chaldée pour te mettre en possession de ce pays.» Abraham répondit: «Seigneur mon Dieu, comment vais-je savoir que j'en ai la possession?» Le Seigneur lui dit: «Prends-moi une génisse de trois ans, une chèvre de trois ans, un bélier de trois ans, une tourterelle et une jeune colombe.» Abraham prit tous ces animaux, les partagea en deux, et plaça chaque moitié en face de l'autre; mais il ne partagea pas les oiseaux. Comme les rapaces descendaient sur les morceaux, Abraham les écarta. Au coucher du soleil, une grande torpeur s'empara d'Abraham, une sombre et profonde frayeur le saisit. Après le coucher du soleil, il y eut des ténèbres épaisses. Alors un brasier fumant et une torche enflammée passèrent entre les quartiers d'animaux. Ce jour-là, le Seigneur conclut une alliance avec Abraham en ces termes: «A ta descendance je donne ce pays que voici.»

De la lettre de saint Paul, apôtre, aux Philippiens 3, 17, 4,1

Frères, prenez-moi tous pour modèle, et regardez bien ceux qui vivent selon l'exemple que nous vous donnons. Car je vous l'ai souvent dit, et maintenant je le redis en pleurant: beaucoup de gens vivent en ennemis de la croix du Christ. Ils vont tous à leur perte. Leur dieu, c'est leur ventre, et ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte; le but de leur vie est sur la terre. Mais nous, nous sommes citoyens des cieux; c'est à ce titre que nous attendons comme sauveur le Seigneur Jésus Christ, lui qui transformera nos pauvres corps à l'image de son corps glorieux, avec la puissance qui le rend capable aussi de tout dominer. Ainsi, mes frères bien-aimés que je désire tant revoir, vous, ma joie et ma récompense, tenez bon dans le Seigneur, mes bien-aimés.

EVANGILE DE JESUS CHRIST SELON SAINT LUC 9, 28-36

Jésus prit avec lui Pierre, Jean et Jacques, et il alla sur la montagne pour prier. Pendant qu'il priait, son visage apparut tout autre, ses vêtements devinrent d'une blancheur éclatante. Et deux hommes s'entretenaient avec lui: c'étaient Moïse et Elie, apparus dans la gloire. Ils parlaient de son départ qui allait se réaliser à Jérusalem. Pierre et ses compagnons étaient accablés de sommeil; mais, se réveillant, ils virent la gloire de Jésus, et les deux hommes à ses côtés. Ces derniers s'en allaient, quand Pierre dit à Jésus: « Il est heureux que nous soyons ici; dressons trois tentes: une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie.» Il ne savait pas ce qu'il disait. Il n'avait pas fini de parler, qu'une nuée survint et les couvrit de son ombre; ils furent saisis de frayeur lorsqu'ils y pénétrèrent. Et, de la nuée, une voix se fit entendre: «Celui-ci est mon Fils, celui que j'ai choisi, écoutez-le.» Quand la voix eut retenti, on ne vit plus que Jésus seul. Les disciples gardèrent le silence et, de ce qu'ils avaient vu, ils ne dirent rien à personne à ce moment-là.

jeudi 25 février 2010

L U P O U R V O U S

* Adieux émouvants à Namur (catho.be 22/2)
* Enquête sur la foi (catho.be 22/2)
* Fraternité St Pie X: des discussions encore longues.... (catho.be 22/2)
* Conférence-débat à Bruxelles: "Elles cultivent, qui récolte?" (catho.be 24/2)

lundi 22 février 2010

ECHANGES SUR LA FOI

Merci à ceux qui se sont donné la peine d'écrire quelque chose car "verba volant, scripta manent".

Commentaire de Robert EMPAIN

J'ai participé à cette rencontre sans savoir qu'elle se référerait à une Lettre sur la catéchèse dans la vie de l'église intitulée "Devenir adulte dans la foi " et publiée en 2006 par les évêques de Belgique. Je n'avais donc pas lu encore cette Lettre de 70 pages et il me semble que nos soeurs et frères présents à la réunion ne l'avaient pas lue non plus.
Dans son introduction notre curé esquissa quelques unes des crises que nous subissons : celle de la Foi, celle de l'église, celle des vocations, ainsi que la problématique de la catéchèse dans une société moderne et sécularisée : autant de sujets développés dans la Lettre des évêques. Cette introduction occupa près d'une demi heure sur l'heure prévue pour nos échanges, ceux ci furent donc brefs et insuffisants au point que chacun eut envie de le prolonger l'échange...
Notre curé nous a demandé de nous exprimer par écrit sur cette rencontre.
Ce que je fais. Je ne peux me substituer à mes soeurs et frères pour retranscrire leurs propos mais je vais rappeler mes deux brèves interventions; l'une sur la sécularisation l'autre sur ce qu'est essentiellement pour moi la Foi.

Sur la sécularisation

Rappel
Le problème posé par la Lettre est bien résumé au § 115 : ...vu les changements culturels et sociaux actuels - la sécularisation - comment devenir, être et demeurer adulte dans la foi aujourd'hui ? La transmission de la foi reste le défi majeur. Il importe d'y réfléchir... Oeuvre de longue haleine... un grand débat autour de la catéchèse sera ouvert... La lecture et le commentaire de la présente Lettre devrait constituer une première étape.

Rappelons que : " la sécularisation s'identifie à la laïcisation, c'est-à-dire à un processus par lequel le contenu théologique s'efface au profit de modes d'être et d'habitudes populaires sans référence explicite au sacré. Plus globalement et plus largement, la sécularisation désigne le processus visible depuis la fin du Moyen Âge qui voit des activités ou des dimensions de la vie humaine reliées à la sphère religieuse comme l'Art, l'Éthique, la Morale, ou la Politique se couper de toute référence au sacré ou à la transcendance. La sécularisation, au sens en usage aujourd'hui définit un processus dans lequel le monde et l'histoire humaine peuvent se comprendre à partir d'eux-mêmes, de manière proprement immanente. Wikipédia

À cet égard, j'ai fait une seule remarque :
Certes nous vivons dans une époque sécularisée, fortement matérialiste, scientiste et nihilisme ; une époque moderne et technique en transformation accélérée et incontrôlable, durant laquelle les églises se sont vidées...
Pourtant, il n'en demeure pas moins, comme le constatait voici plus de 20 ans l'anthropologue chrétien René Girard, que ce sont les valeurs chrétiennes qui se sont sécularisées. Jamais, en effet, les sociétés humaines ne se sont autant préoccupées des victimes, des plus faibles et des plus démunis (relisons Marx et ses descriptions des conditions de vie effroyables des masses dans l'Europe bourgeoise et chrétienne du 19° siècle !) ; et jamais autant la violence et la guerre n'ont été dénoncées et rejetées par l'opinion publique et la presse -
Même si, aurais-je du ajouter, si j'en avais eu le temps, cela est encore très insuffisant, même si les inégalités matérielles ont augmenté depuis 10 ans, depuis la mondialisation - qui est une stratégie des puissances de l'argent contre les acquis sociaux ; même si en réalité les violences et leur médiatisation spectaculaires ont augmenté ; même si notre capacité d'auto-destruction totale par la bombe atomique reste réelle... il reste que l'empathie pour la souffrance de l'autre homme augmente dans l'humanité...
Ce qui signifie que les hommes tendent à s'humaniser, à réduire leur violence (issue de la rivalité mimétique) ; qu'ils répondent de moins en moins à la violence par la violence ; qu'ils cherchent de moins en moins une victime émissaire et reconnaissent et regrette leur propre violence ( exemple de l'Afrique du Sud) etc...
En un mot les hommes se christianisent, sans pour autant être ou se dire chrétiens....

La Foi

Pour moi, la Foi, n'est pas du domaine de la conscience ni de la pensée, mais du pathos - c'est-à-dire de ce qui s'éprouve.
Je m'éprouve vivant alors que je ne me suis pas donné la vie à moi-même ; au contraire c'est la vie qui me donne à moi-même et me submerge...
La Foi est ainsi la certitude que j'ai de vivre, une certitude qui vient de la certitude d'une Vie absolue, d'un Premier Vivant, le Dieu Vivant.
Et s'il en est ainsi de tous les vivants, nous sommes tous un dans la Vie Une, et Fils d'un même Père et tous membres d'un même Corps Vivant, celui du Christ Jésus.
On pourra lire, sur cette approche de la Foi, Michel Henry.

Ajout

Après avoir lu la Lettre, j'ajoute (et je déplore) que les évêques ne retiennent aucune responsabilité de l'Église (institutionnelle) dans les crises qu'elle traverse (et qui ont commencé avec la Renaissance) :
au § 4, nos évêques posent la question: " qui est responsable de cette situation ? " Et de répondre : "personne n'est coupable...c'est un fait.... il s'agit plus d'impuissance que de faute...
Ce sujet complexe et douloureux demanderait évidement un long développement.
Disons que l'Église institutionnelle, comme chaque homme et comme l'Humanité tout entière, doit s'avancer vers sa Pâques, vers un nouveau passage, une nouvelle mutation en profondeur, qui exigent une Passion, une Mort, une Descente aux enfers et une Résurrection, une Nouvelle Naissance !
Si les sociétés humaines ont assimilé et sécularisé de valeurs chrétiennes -- comme les droits de l'homme, le droit de vote, l'éducation et les soins de santé pour tous, les acquis sociaux, les droits de la femme etc. -- cela a pu se faire grâce à l'Église et aux valeurs qu'elle a portées, mais aussi, en vérité et trop souvent, sans elle, sinon contre elle et les classes dont elle était proche...
De la sécularisation de ses valeurs l'Église peut prendre acte, se réjouir, y voir l'oeuvre de l'Esprit Saint.
Elle peut faire et donner sa confiance, aux hommes et à leurs lois pour répandre la morale et la dignité et la justice dans le monde
et passer alors au niveau supérieur de transmission et d'approfondissant, en invitant chaque à d'accomplissement
du message spirituel du Christ et de la Bible. (relire la Bible avec le Christ )

L'Église institutionnelle, meurt et mute sous nos yeux. Elle va renaître dans un Corps nouveau, le Corps mystique du Christ. Un Corps constitué de plus d'un milliard de membres vivants.
L'Église a Foi en ses enfants, elle va les envoyer, ces hommes et ces femmes, en missionnaires de la Bonne Nouvelle pour qu'ils annoncent autour d'eux l'avènement de l'Esprit et de l'Amour,
pour qu'ils rappellent à tous les hommes en quête éperdue d'identité et de Sens quelle est leur seule identité véritable: celle Fils de Dieu.
Pour qu'ils offrent à leurs frères et soeurs, aux Fils et Filles perdus de Dieu, encore séparés par leurs disputes destructrices, encore absorbés par leurs vaines conquêtes objectives,
par leurs vains savoirs et pouvoirs, l'Amour infini d'un seul et unique Père qui les appelle à naître à la Vie et à transfigurer le monde.

Cette mutation entraînera de nombreux changements concrets dont nous devrions parler.

à suivre...

ROBERT EMPAIN

Une deuxième contribution sera bientôt mise en ligne....

Laissons à présent la parole à notre Vicaire:
Conclusions de la rencontre du 21 février:
La Bible est une bibliothèque: les auteurs s'étalent sur une dizaine de siècles, il y en a des dizaines, des dizaines de genres différents: récits historiques, codes de loi, poésie, lettres, prières....
Et ce qui est absolument fondamental est de bien distinguer d'une part l'événement qui provoque l'écriture tenant compte nécessairement du temps et du lieu; l'événement produit alors un message original, différent de l'écrit et l'écrit est reçu par un lecteur qui lui aussi, perd/gagne une bonne partie par la transmission; Cette cascade de conditions fait qu'on trouve déjà dans la Bible des commentaires d'autres livres qui précédaient dans le temps. Ainsi, Jésus, avec les disciples d'Emmaüs, cherche dans le Bible "ce qui le concernait" (Luc 24, 27). Donc, si on est conscient qu'il y a l'événement, la lecture de l'événement par des groupes humains, des croyants en général, l'écriture alors par certains d'entre eux, peut être pas d'ailleurs dans le même temps que l'événement lui-même, enfin, la lecture par un lecteur quelconque, croyant, mais qui cherche à augmenter sa foi. Tout cela nous fait comprendre pourquoi il y a tant d'attrait à la Bible, d'une part et d'autre part tant d'opinions divergentes et aussi convergentes.
Mais la Bible est la plus belle chose que le Seigneur nous ait laissée, c'est la parole de Jésus qui nous est dite dans l'église, la parole gelée de Jésus. Et qui ne sert qu'à attirer notre attention sur la parole, le Verbe qui se fait chair.
C'est ce point là qui sera l'objet de notre échange le dimanche 14 mars.

Prochain rendez-vous: 14 mars à 10 heures 30 à la Chapelle de Lorette et prendre les pages 30 à 36 du livret "être adulte dans la foi", c'est-à-dire la relation entre la Parole et l'Eglise...

P O L E M I Q U E

Voici une série de réflexions d'un grand théologien allemand. Mais je connais aussi le proverbe bantou:" plus le singe monte à l'arbre, plus on voit son derrière".
Pardonnez le caractère irrévérencieux de cet aphorisme qui est un appel à la foi et à l'humilité.


Jacques Van der Biest

vendredi 19 février 2010

groupe de foi

CE DIMANCHE A 10 heures 30, RENDEZ-VOUS A LA CHAPELLE DE LORETTE POUR PARTAGER ET REFLECHIR SUR DES SUJETS DE FOI. CETTE RÉUNION TRAITERA DE LA BIBLE.
A DIMANCHE

Lectures du dimanche 21 février à 11 heures 30

La chorale du Most Holy Redeemer (Billericay, Essex), chantera durant la messe des oeuvres de JS Bach, T. Tallis, Rutter et J. Archer


1er DIMANCHE DE CAREME
Lecture du Livre du Deutéronome 26, 4 à 10

Moïse disait au peuple d’Israël: Lorsque tu présenteras les prémices de tes récoltes, le prêtre recevra de tes mains la corbeille et la déposera devant l’autel du Seigneur ton Dieu. Tu prononceras ces paroles devant le Seigneur ton Dieu:« Mon père était un Araméen vagabond, qui descendit en Égypte: il y vécut en immigré avec son petit clan. C'est là qu'il est devenu une grande nation, puissante et nombreuse. Les Égyptiens nous ont maltraités, et réduits à la pauvreté ; ils nous ont imposé un dur esclavage. Nous avons crié vers le Seigneur, le Dieu de nos pères. Il a entendu notre voix, il a vu que nous étions pauvres, malheureux, opprimés. Le Seigneur nous a fait sortir d'Égypte par la force de sa main et la vigueur de son bras, par des actions terrifiantes, des signes et des prodiges. Il nous a conduits dans ce lieu et nous a donné ce pays, un pays ruisselant de lait et de miel. Et voici maintenant que j'apporte les prémices des produits du sol que tu m'as donné, Seigneur.»

De la lettre de Saint Paul Apôtre aux Romains 10, 8 à 13

Frères, nous lisons dans l'Ecriture: «La parole est près de toi, elle est dans ta bouche et dans ton cœur.» Cette parole, c'est le message de la foi que nous proclamons. Donc si tu affirmes de ta bouche que Jésus est Seigneur, si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts, alors tu seras sauvé. Celui qui croit du fond de son cœur devient juste; celui qui, de sa bouche, affirme sa foi, parvient au salut. En effet, l'Ecriture dit: «Lors du jugement, aucun de ceux qui croient en lui n'aura à le regretter.» Ainsi, entre les Juifs et les païens, il n'y a pas de différence: tous ont le même Seigneur, généreux envers tous ceux qui l'invoquent. Il est écrit en effet: «Tous ceux qui invoqueront le nom du Seigneur seront sauvés.»

EVANGILE DE JÉSUS-CHRIST SELON SAINT LUC 4, 1 à 13

Après son baptême, Jésus, rempli de l’Esprit Saint, quitta les bords du Jourdain ; il fut conduit par l’Esprit à travers le désert où, pendant quarante jours, il fut mis à l'épreuve par le démon. Il ne mangea rien durant ces jours-là, et, quand ce temps fut écoulé, il eut faim. Le démon lui dit alors: «Si tu es le Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de devenir du pain.» Jésus répondit: «Il est écrit: Ce n'est pas seulement de pain que l'homme doit vivre.» Le démon l'emmena alors plus haut, et lui fit voir d'un seul regard tous les royaumes de la terre. Il lui dit: «Je te donnerai tout ce pouvoir, et la gloire de ces royaumes, car cela m'appartient et je le donne à qui je veux. Toi donc, si tu te prosternes devant moi, tu auras tout cela.» Jésus lui répondit: «Il est écrit: Tu te prosterneras devant le Seigneur ton Dieu, et c'est lui seul que tu adoreras.» Puis le démon le conduisit à Jérusalem, il le plaça au sommet du Temple et lui dit: «Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas; car il est écrit: Il donnera pour toi à ses anges l'ordre de te garder; et encore: Ils te porteront sur leurs mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre.» Jésus répondit: «Il est dit: Tu ne mettras pas à l'épreuve le Seigneur ton Dieu.» Ayant ainsi épuisé toutes les formes de tentations, le démon s'éloigna de Jésus jusqu'au moment fixé.

mercredi 17 février 2010

L U P O U R V O U S

* Enfants-soldats: programme de réinsertion de Caritas (catho.be 15/2)
* Projet Bethleem: nouveau bien d'église affecté au logement social (catho.be 16 et 20/2)
* La foi chrétienne en quatre conférences (catho.be 16/2)
* Archives du Vatican
bientôt en ligne (catho.be 16/2)
* Cultes musicaux par la
paroisse protestante (catho.be 17/2)
* Qu'arrive-t-il à l'
Eglise aujourd'hui? (catho.be 17/2)
* 47ème
journée mondiale des vocations (catho.be 17/2)
* Do you have a facebook? (catho.be 18/2)
* Et Dieu dans tout ça? (RTBF 21/2)
* Le Père Wrezinski bientôt béatifié? (catho.be 19/2)

vendredi 12 février 2010

Lectures du dimanche 14 février 2010 à 11 heures 30

6ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE

Du Livre de Jérémie 17, 5-8

Parole du Seigneur. Maudit soit l’homme qui met sa confiance dans un mortel, qui s’appuie sur un être de chair, tandis que son cœur se détourne du Seigneur. Il sera comme un buisson sur une terre désolée, il ne verra pas venir le bonheur. Il aura pour demeure les lieux arides du désert, une terre salée et inhabitable. Béni soit l'homme qui met sa confiance dans le Seigneur, dont le Seigneur est l'espoir. Il sera comme un arbre planté au bord des eaux, qui étend ses racines vers le courant: il ne craint pas la chaleur quand elle vient, et son feuillage reste vert; il ne redoute pas une année de sécheresse, car elle ne l'empêche pas de porter du fruit.

De la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens 15, 1-12;16-20

Frères, nous proclamons que le Christ est ressuscité d’entre les morts; alors, comment certains d’entre vous peuvent-ils affirmer qu’il n’y a pas de résurrection des morts? Si les morts ne ressuscitent pas, le Christ non plus n’est pas ressuscité. Et si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi ne mène à rien, vous n’êtes pas libérés de vos péchés; et puis, ceux qui sont morts dans le Christ sont perdus. Si nous avons mis notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes. Mais non! le Christ est ressuscité d’entre les morts, pour être parmi les morts le premier ressuscité.

EVANGILE DE JÉSUS-CHRIST SELON SAINT LUC 6, 17 à 26

Jésus descendit de la montagne avec les douze Apôtres et s'arrêta dans la plaine. Il y avait là un grand nombre de ses disciples, et une foule de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Regardant alors ses disciples, Jésus dit: «Heureux, vous les pauvres; le royaume de Dieu est à vous! Heureux, vous qui avez faim maintenant: vous serez rassasiés! Heureux, vous qui pleurez maintenant: vous rirez! Heureux êtes-vous, quand les hommes vous haïssent et vous repoussent, quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable, à cause du Fils de l'homme. Ce jour-là, soyez heureux et sautez de joie, car votre récompense est grande dans le ciel: c'est ainsi que leurs pères traitaient les prophètes. Mais malheureux, vous les riches: vous avez votre consolation! Malheureux, vous qui êtes repus maintenant: vous aurez faim! Malheureux, vous qui riez maintenant: vous serez dans le deuil et vous pleurerez. Malheureux êtes-vous quand tous les hommes disent du bien de vous: c'est ainsi que leurs pères traitaient les faux prophètes».

Mercredi 17 février - début du Carême

CAREME 2010

Entraide et Fraternité met cette année l'accent sur le rôle des femmes dans l'agriculture paysanne.
Faire notre Carême, réflexion à Maredsous.
Le Carême est le temps de préparation à la résurrection du Christ

La messe sera célébrée à 12 heures 15, à la Chapelle de Lorette. Les cendres seront imposées au cours de la messe.

Le "groupe de foi"

POUR CEUX QUI ONT DEJA ASSISTE ET CEUX QUI SOUHAITENT SE JOINDRE AU GROUPE:

En suite de notre rencontre du 7 février au sujet de la foi, je vous propose de nous retrouver le 21 février à 10 heures 30 dans la chapelle de Lorette. Je vous demanderais d'écrire quelques mots (p.e. un quart de page A4) sur ce que vous a apporté l'échange fait.
Ensuite, vous pourriez lire les pages 22 à 29 du fascicule qui vous a été procuré, qui nous entretient de la Bible. Ce sera le sujet de notre nouvelle rencontre.
A bientôt - J. VdB

La messe qui suivra à 11 heures 30 sera chantée par la chorale de l'église du Most Holy Redeemer (Grande Bretagne)

Des Sans logis à l'église du Gesù

L'Union des Locataires de Saint-Gilles (ULM) coordonne à Saint-Josse une occupation sauvage de plus pour défendre le droit au logement. Elle intervient au coeur d'un conflit urbanistique entre la commune et deux associations qui contestent le permis délivré. Ils se sont installés sans heurts, depuis dimanche dernier.

L U P O U R V O U S

* Les enfants ont droit à un père et une mère, sujet évoqué au Vatican (catho.be 9/2)
* Prier en Carême (catho.be 9/2)
* Violences au Congo: quelles places pour les femmes? (dimanche express)
* L'avortement en question au Vatican (La vie 11/2)
* Formation à l'IET: bioéthique (catho.be 11/2)
* Lutte contre l'exclusion sociale (catho.be 11/2)
* Annulation de la dette haïtienne (catho.be 11/2)
* France: le jeûne est une pratique en hausse (catho.be 12/2)

En écho à l'enquête sur les catholiques francophones

Voici des résultats sur la pratique des néerlandophones

vendredi 5 février 2010

RAPPEL

CE DIMANCHE A 10 heures 30, RENDEZ-VOUS A LA CHAPELLE DE LORETTE POUR PARTAGER ET REFLECHIR SUR DES SUJETS DE FOI.
LES SUJETS SERONT PROPOSES PAR LES PARTICIPANTS. A DIMANCHE

Lectures du dimanche 7 février à 11 heures 30

5ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE

Du livre d’Isaïe 6, 1...8

L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur assis sur un trône très élevé; les pans de son manteau remplissaient le Temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils se criaient l’un à l’autre: «Saint! Saint! Saint, le Seigneur Dieu de l’univers. Toute la terre est remplie de sa gloire.» Les pivots des portes se mirent à trembler à la voix de celui qui criait et le Temple se remplissait de fumée. Je dis alors: «Malheur à moi, je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures, et mes yeux ont vu le Roi, le Seigneur de l’univers!» L’un des séraphins vola vers moi, tenant un charbon brûlant qu’il avait pris avec des pinces sur l’autel. Il l’approcha de ma bouche et dit: «Ceci a touché tes lèvres, et maintenant ta faute est enlevée, ton péché est pardonné.» J’entendis alors la voix du Seigneur qui disait: «Qui enverrai-je? Qui sera notre messager? » Et j’ai répondu: «Moi, je serai ton messager: envoie-moi.»

De la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens 15, 1-11

Frères, je vous rappelle la Bonne Nouvelle que je vous ai annoncée; cet Evangile, vous l’avez reçu et vous y restez attachés; vous serez sauvés par lui si vous le gardez tel que je vous l’ai annoncé; autrement, c’est pour rien que vous êtes devenus croyants. Avant tout, je vous ai transmis ceci, que j’ai moi-même reçu: le Christ est mort pour nos péchés conformément aux Ecritures et il a été mis au tombeau; il est ressuscité le troisième jour conformément aux Ecritures, et il est apparu à Pierre, puis aux Douze; ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois - la plupart sont encore vivants, et quelques uns sont morts - ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres. Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis. Car moi, je suis le plus petit des Apôtres, je ne suis pas digne d’être appelé Apôtre, puisque j’ai persécuté l’Eglise de Dieu. Mais ce que je suis, je le suis par la grâce de Dieu, et la grâce dont il m’a comblé n’a pas été stérile: je me suis donné de la peine plus que tous les autres; à vrai dire, ce n’est pas moi, c’est la grâce de Dieu avec moi. Bref, qu’il s’agisse de moi ou des autres, voilà notre message, et voilà votre foi.

EVANGILE DE JESUS-CHRIST SELON SAINT LUC 5, 1-11

Un jour, Jésus se trouvait sur le bord du lac de Génésareth: la foule se pressait autour de lui pour écouter la parole de Dieu. Il vit deux barques amarrées au bord du lac; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets. Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon et lui demanda de s’éloigner un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait la foule. Quand il eut fini de parler, il dit à Simon: «Avance au large, et jetez les filets pour prendre du poisson.» Simon lui répondit: «Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre, mais, sur ton ordre, je vais jeter les filets » Ils le firent, et ils prirent une telle quantité de poissons que leurs filets se déchiraient. Ils firent signe à leur compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient. A cette vue, Simon-Pierre tomba aux pieds de Jésus en disant: «Seigneur, éloigne-toi de moi, car je suis un homme pécheur.» L’effroi, en effet, l’avait saisi, lui et ceux qui étaient avec lui dans la barque, devant la quantité de poissons qu’ils avaient prise; et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, ses compagnons. Jésus dit à Simon: «N’aie pas peur, désormais, ce sont des hommes que tu prendras.» Alors, ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.

L U P O U R V O U S

* L'année sacerdotale continue.... édito de Charles Delhez dans Dimanche (catho.be 5/2/2010)
* Présentation du message de carême 2010 au Vatican (catho.be 5/2/2010)

L'1visible

Lancement d'un mensuel catholique gratuit. Faites en connaissance sur le net.
A quand une version adaptée à la Belgique? (catho.be 4/2/2010)

jeudi 4 février 2010

Qu'arrive-t-il à l'église aujourdhui?

La Fondation Sedes Sapientiae et la Faculté de théologie (UCL) vous invitent à son cycle de conférences 2010.
Quatre mardis, de 20h à 22h, au Centre œcuménique (av. de l'Assomption 69 à Woluwe-Saint-Lambert) - à 100 mètres du métro Alma - Parking aisé

A propos de l'Église catholique, on peut parler aujourd'hui d'un profond malaise. La perte de crédibilité est impressionnante tant au regard de ceux qui lui demeurent proches que pour ceux qui lui sont extérieurs. Qu'arrive-t-il donc à cette Église pour que, moins de cinquante ans après un concile qui sut parler avec pertinence aux hommes de ce temps, l'impression d'insignifiance soit si prégnante ? En posant la question « Qu'arrive-t-il à l'Église aujourd'hui ? », nous interrogerons des guetteurs. Peut-on apercevoir les signes annonciateurs d'une (re-)naissance sans doute très différente de tout ce qui fut jusqu'ici ? Sans en rien minimiser la radicalité de la crise actuelle.

Le 9 février : le regard de Dom Armand Veilleux, Abbé de Scourmont, originaire du Québec, vivant en Belgique. Il exerce depuis de longues années des responsabilités dans l'ensemble de l'ordre cistercien.
Le 23 février : le regard d'Isabelle de Gaulmyn, Chef du Service Religion du journal La Croix. Elle fut, durant plusieurs années, correspondante de ce journal à Rome.
Le 9 mars : le regard de Paul Scolas, Prêtre du diocèse de Tournai dont il fut plus de dix ans vicaire général. Théologien, chargé de cours invité à l'UCL et à l'Université catholique de Lille.
Le 23 mars : le regard de Paulin Poucouta, Théologien, professeur à l'Institut catholique de Yaoundé et professeur invité à l'UCL. Il parlera depuis une Église d'Afrique qui oscille, elle aussi, entre dynamisme et malaise.

ENTRÉE LIBRE - Renseignements : 010/47 36 04 (Faculté de théologie) ou Claude.Lichtert@uclouvain.be